Cancer achevé 3
CANCER ACHEVE 3
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Pourquoi le cancer (maladie) est appelé "cancer", quel relation avec le crabe?
Avec tout mon respect et mon encouragement a ceux malades ou allant un proche malade du cancer.
Il y a 6 ans
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ayant un proche
Il y a 6 ans
by yo083
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Hippocrate (460-370 av. J.-C.), fit des descriptions précises de cancer et utilisa les termes grecs "carcinos", "carcinoma" pour désigner des ulcérations chroniques ou des grosseurs qui semblaient être des tumeurs malignes et "squirr(h)e" pour désigner une forme de cancer (épithéliome) de consistance dure du fait de la prédominance d'une sclérose avec rétraction des tissus.
D'après le dictionnaire A. Bailly, ces deux termes grecs signifient respectivement :
- "carcinos" : 1) écrevisse, 2) chancre, cancer, tumeur
- "skirros" : en tant que nom : tumeur dure; en tant d'adjectif : dur, endurci.
Celsus (28 av. J.-C. - 50 ap. J.-C.), médecin romain, traduisit le mot grec "carcinos" en "cancer", mot latin signifiant : 1) crabe, écrevisse, cancre et 2) cancer, chancre. Il introduisit par contre, tel quel, le mot grec "carcinoma" dans le langage latin.
Le terme "cancer" désignait plutôt des ulcères d'allure maligne avec pénétration profonde tandis que le terme "carcinoma" désignait plutôt nos lésions prémalignes et malignes de type plus superficiel.
Il y a 6 ans
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Merci pour ta reponse Yo083 cetait net préci
http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20061201110237AAGOtcn
vérité
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Autre question »
Pourquoi le cancer qui était connu comme maladie des riches, est devenu de plus en plus populaire?
Il y a 3 semaines
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by Gonzo
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pesticides dans la nouriture, eau
voir aussi des médicaments rejeé dans l'eau courante
aliments avec ajouts de produits chimiques en tout genre
ogm
allongement de la vie pour tous
des éléments qui séparé ne sont pas dangereux en soit, mais pris en cumule font un gros bon détergeant pour la santé
Modifiée il y a 2 semaines
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Mais ma question c'est pourquoi ce développement de cette maladie?
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ARCHANGE
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Quel est le rapport entre le cancer et le crabe?
Il y a 5 ans
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Pourquoi la maladie porte-t-elle le nom de "crabe"?
Il y a 5 ans
by geraldin...
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Dérivé du grec karkinos qui signifie crabe ou pinces, le mot latin cancer, désignant crabe ou écrevisse, prend à la fin du XVe siècle en français le sens de tumeur maligne (on trouve aussi cancre ou chancre). Ce rapprochement est justifié, par Galien, par Henri de Mondeville puis par Ambroise Paré (*) (1509-1590), par l’aspect d’une tumeur qui présente une masse centrale d’où rayonnent des veines gonflées ou des ramifications, comme des pattes, par l’adhérence de la tumeur qui s’accroche aux tissus voisins comme avec des pinces ; au début du XIXe siècle, Récamier fera en outre remarquer que le cancer, comme le crabe ou l’écrevisse, reconstitue un fragment de chair arraché.
Il y a 5 ans
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(*)AMBROISE PARE
http://sante.secourisme.over-blog.org/article-fertilite-hommes-108481693.html
Sylvie Froucht-Hirsch, anesthésiste réanimateur à la Fondation ophtalmologique Rothschild (Paris) apporte un témoignage poignant et souvent drôle (Le temps d'un cancer - chroniques d'un médecin malade) de sa rencontre avec "le petit teigneux" :
Témoignage d'un médecin atteint d'un cancer du sein
Le 08/06/12 à 09:01
par La Voix des Patients
Dans "Le temps d'un cancer - chroniques d'un médecin malade", Sylvie Froucht-Hirsch, anesthésiste réanimateur à la Fondation ophtalmologique Rothschild (Paris) apporte un témoignage poignant et souvent drôle de sa rencontre avec "le petit teigneux", ce cancer qui ronge son sein et contre lequel elle va devoir se battre.
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Un témoignage riche et très humain
8 juin 2012
Proposé par La Voix des Patients
Vu sur Notre Famille
De cette expérience douloureuse, dont elle est sortie vainqueur, elle estime s'être enrichie, se considérant désormais comme "un médecin doté d'une expérience de malade, avec la certitude qu'être malade, même bien entouré, c'est être seul. Seul face à l'angoisse de l'avenir".
« Lorsque le cancer m'a été annoncé, mon mari Emmanuel m'a offert un petit carnet rouge. J'ai voulu rédiger " l'histoire du petit teigneux ", comme l'appelait mon cancérologue. J'ai plus l'esprit d'une caricaturiste que celui d'une romancière, et pourtant j'ai bien vite compris que la maladie grave nous interroge profondément, nous rend plus attentifs. Très vite j'ai perçu la solitude de cette expérience, mais également l'importance du partage avec l'entourage, les autres malades et les soignants. » explique l'auteur
Toutes les étapes de la maladie et de la guérison et toutes les questions auxquelles sont confrontées les femmes atteintes d'un cancer du sein sont abordées, souvent avec humour et sarcasme. On découvre aussi ses proches, véritables remparts contre la maladie, tel son mari, Emmanuel Hirsch, philosophe et directeur de l'Espace éthique de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, sa famille, ses amis et son chirurgien cancérologue, le Dr Bourstyn, devenue son alliée contre le cancer.
Lire l'article en entier
http://www.voixdespatients.fr/t/temoignage-d-un-medecin-atteint-d-un-cancer-du-sein-172
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Edition : "Le temps d'un cancer", témoignage poignant d'un médecin atteint d'un cancer du sein
Edition : "Le temps d'un cancer", témoignage poignant d'un médecin atteint d'un cancer du sein
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Anesthésiste réanimateur et atteinte d'un cancer du sein, Sylvie Froucht-Hirsch partage le temps d'un livre son expérience et ses réflexions sur la maladie et son changement de statut de médecin à malade.
Dans "Le temps d'un cancer - chroniques d'un médecin malade", Sylvie Froucht-Hirsch, anesthésiste réanimateur à la Fondation ophtalmologique Rothschild (Paris) apporte un témoignage poignant et souvent drôle de sa rencontre avec "le petit teigneux", ce cancer qui ronge son sein et contre lequel elle va devoir se battre.
Comme l'écrit dans la préface le Dr Edwige Bourstyn, chirurgienne cancérologue à l'hôpital Saint-Louis (Paris) où sera soignée Sylvie, cette dernière "a choisi d'être 'une patiente non intelligente', de faire confiance, de 'mettre en réserve' le médecin qu'elle est".
De médecin/malade à malade/médecin, elle n'a finalement gardé que le statut de malade, même si, comme elle s'en rendra compte plus tard, son "savoir médical [lui] permet d'anticiper et d'appréhender des situations sans avoir besoin d'explications ou de poser des questions au personnel soignant".
De cette expérience douloureuse, dont elle est sortie vainqueur, elle estime s'être enrichie, se considérant désormais comme "un médecin doté d'une expérience de malade, avec la certitude qu'être malade, même bien entouré, c'est être seul. Seul face à l'angoisse de l'avenir".
Avec des mots simples, elle décrit parfaitement le ressenti des malades, les piqûres auxquelles on ne s'habitue pas, l'importance de l'entourage qui, pourtant, "peut faire le mal en voulant faire le bien". Elle cite fréquemment des philosophes dont les réflexions trouvent un écho aux siennes, comme sur la relation à la mort, au temps.
Toutes les étapes de la maladie et de la guérison et toutes les questions auxquelles sont confrontées les femmes atteintes d'un cancer du sein sont abordées, souvent avec humour et sarcasme. On découvre aussi ses proches, véritables remparts contre la maladie, tel son mari, Emmanuel Hirsch, philosophe et directeur de l'Espace éthique de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, sa famille, ses amis et son chirurgien cancérologue, le Dr Bourstyn, devenue son alliée contre le cancer.
Véritable leçon de vie, ce livre s'adresse aussi bien aux femmes atteintes d'un cancer du sein qu'à l'entourage d'une malade.
* Le Temps d'un cancer - chroniques d'un médecin malade, Ed Vuibert, Collection Espace éthique, 142 p, 15 euros
Réalisé et validé en collaboration avec des professionnels de la santé
sous la direction du Dr Anne Richard
Dernière modification le 07/07/2011
Krabbe
Maladie héréditaire à transmission récessive (voir RECESSIF ) qui s'intègre dans le cadre des lipidoses.
C'est une maladie LYSOSOMALE.
Elle est en rapport avec un défaut enzymatique de galactocérébrosidase. De fait, le CATABOLISME du galactocérébroside, qui est un élément lipidique de la myéline, est anormal et s'accumule dans la cellule nerveuse.
Il est dégradé par une voie catabolique accessoire en une substance toxique: la psychosine.
Cette psychosine s'accumule dans le système nerveux central et est responsable de la destruction des cellules productrices de myéline: les oligodendrocytes.
Au microscope, des cellules anormales se trouvent dans le tissu nerveux. Elles sont d'origine histiocytaire et d'aspect globoïde.
Cette maladie est due à un défaut génétique. Le gène responsable se trouve sur le chromosome 14.
L'incidence de la maladie est de 1 naissance sur 100.000 à 200.000.
Il existe une prévalence particulière dans la population druze du Moyen-Orient.
Un diagnostic anténatal lors d'une nouvelle grossesse est possible en analysant un prélèvement trophoblastique (tissu placentaire) si un enfant précédent a été atteint de la maladie.
SYMPTOMES
A la naissance, rien n'attire l'attention. L'enfant se développe normalement jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois. Puis survient une grande irritabilité avec pleurs fréquents, même nocturnes.
Une inappétence apparaît.
L'enfant ne sourit plus et a du mal à tenir sa tête.
La croissance s'arrête (nette en particulier à la mesure du périmètre crânien) .
Une hypertonie des membres inférieurs se manifeste: ils sont raides, en ciseaux.
La moindre excitation provoque une contracture généralisée.
Un SYNDROME PYRAMIDAL apparaît ainsi qu'une abolition des réflexes tendineux.
Des convulsions sont possibles.
Après quelques mois d'évolution, l'hypertonie est permanente. L'enfant ne réagit plus ni au bruit, ni à la lumière.
Le pronostic est très sombre.
Au scanner, une atrophie cérébrale est manifeste.
La CHRONAXIE des nerfs des membres est très diminuée.
Une forme tardive de la maladie existe: elle apparaît vers l'âge de 3 à 5 ans.
L'enfant devient irritable, présente des troubles de la marche et une ATAXIE . Un SYNDROME PYRAMIDAL apparaît.
Une détérioration intellectuelle apparaît peu à peu, le langage s'appauvrit. Le pronostic est également sombre.
TRAITEMENT
Le traitement symptomatique garde toute sa valeur en agissant sur la fréquence et l'intensité des accès hypertoniques.
Les anxiolytiques, les myorelaxants et les antiépileptiques seront de mise.
La kinésithérapie luttera contre les attitudes vicieuses possibles.
Il n'existe pas actuellement de traitement spécifique de cette maladie.
La greffe de cellules souches neurales embryonnaires semble être un axe de recherche intéressant , mais encore au stade expérimental.
ESPOIR
La greffe de sang de cordon ombilical issu de donneurs non apparentés offre une source de cellules souches immédiatement disponibles.
Il est indispensable de diagnostiquer la maladie avant l'apparition des premiers symptomes de façon à traiter le plus rapidement possible
Un retard , même minime, pouvant ne pas donner un résultat satisfaisant.
Un diagnostic précoce permettant de préserver le cerveau et la fonction motrice. Ce diagnostic devant être fait avant l'apparition des symptomes d'aggravation de la maladie.
Les enfants traités développent une myélinisation centrale progressive, conservent une vision et une audition normales, un développement cognitif normal.
Les anomalies motrices qui persistent sont moins sévères que chez les enfants non traités.
Les enfants traités après l'apparition des symptomes stabilisent leur maladie mais restent sévèrement atteints.
Ce traitement permet une survie supérieure de plusieurs années.
Les études doivent se poursuivre.
Cette technique a pu également donner des résultats similaires dans la maladie de HURLER (Voir ce terme)
VOIR : MALADIES LYSOSOMALES ASSOCIATIONS
Rédigé et validé par le Dr Gérard Ammerich
Dernière modification le 08/12/2011 08:34:57
Voir aussi : maladie de sturge weber krabbe, sturge weber krabbe, maladie de krabbe
Autres termes des utilisateurs : CRABE
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KOURIATRIE KRAUROSIS PENIS
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